18ème jour de mon calendrier de l’avent dessiné.
Noël approche et je me sens plus que jamais coupée du monde.
En France la question cruciale de la nécessité de rester chez soi ou non pour le réveillon se pose jusque dans les plus hautes sphères tandis que nous sommes enfermés dans un pays qui s’est transformée en une gigantesque prison.
C’est un grande prison à l’air libre certes, mais une prison quand même.
Ce mois de décembre est douloureux, j’essaye de tenir le coup.
Le mois prochain ça fera un an.